Diable et les dix commandements (Le). Dir. Julien Duvivier (1962)

Nathalie CROUAU

English Description

Time code: 00.20.52 – 00.21.17

Language of the quotation(s)/reference(s) in the film: French

This segment of the film deals with greed and adultery. Philip Alan and his wife Micheline have organized an elegant party where their wealthy guests can show off their most dazzling jewels. It is an annual event known as the “jewelry parade.” They have also invited Micheline’s best friend Françoise and her husband, Georges Beaufort. As a playwright with little success, Georges cannot afford to buy his wife jewels to match those of the other guests. Georges does not care much for this gaudy display, unlike his wife, who envies Micheline both her diamonds and her rich husband. In the middle of the crowd of guests, Philip and Georges are conversing about their different notions of what constitutes a good show.

PHILIP ALAN: No, the theatre doesn’t interest me. I never go. It’s all a sham. Look, you could never put on a show like this one.

GEORGES BEAUFORT: You know, even if I had the means, I would never think to participate in something like this. Stones, stones. I like Shakespeare better.

PHILIP ALAN: Words, words. I don’t go to the theatre but I read a little.

 


Résumé en français

Localisation dans le film: 00.20.52 – 00.21.17

Langue de la citation/référence dans le film : français

Cette partie du film traite de l’avidité et l’adultère. Philip Alan et sa femme Micheline ont organisé une soirée élégante où leurs riches invités peuvent faire étalage de leurs bijoux les plus éblouissants. C’est une soirée annuelle plus connue sous le nom de « défilé des bijoux ». Ils ont aussi invité la meilleure amie de Micheline, Françoise, et son mari, Georges Beaufort. Un dramaturge qui ne connait pas le succès, Georges n’a pas les moyens d’acheter pour sa femme des bijoux comme ceux des autres invitées. Georges ne s’intéresse pas trop à cette exposition tape-à-l’oeil, contrairement à sa femme, qui envie à Micheline ses diamants et son riche époux. Au milieu de la foule d’invités, Philip et Georges conversent au sujet de leurs visions divergentes de ce qui constitue un bon spectacle.

PHILIP ALLAN: Non, le théâtre ne m’intéresse pas. Je n’y vais jamais. C’est du toc. Regardez, vous pourriez jamais monter un spectacle comme celui-ci.

GEORGES BEAUFORT: Mais vous savez, même si j’en avais les moyens, l’idée ne m’en viendrait pas. Des cailloux, des cailloux. J’aime mieux Shakespeare.

PHILIP ALLAN: Des mots. Des mots. Je ne vais pas au théâtre mais je lis un peu.

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